Vous l'avez peut-être vu, Arte Journal s'est doté d'un tout nouvel habillage samedi dernier, qui rompt nettement avec les codes des habillages info traditionnels #habillage#ArteJournal
J'ai envie de dire : « Arte est de retour ». Parce que oui, ça faisait longtemps qu'Arte ne nous avait pas proposé un générique info qui casse un peu les codes, justement.
Le précédent générique reprenait les marottes des habillages infos : une mappemonde, des ondes et une musique solennelle. Rien que de très ordinaire, hormis un logo « labyrinthique » assez bien vu medias.lenodal.com/video.php?id=1…
On parlait hier du plan de métro produit par Île-de-France Mobilités et c'est, au fond, un cas d'école intéressant. Car en reprenant la forme carrée du logo d'IDFM, il nous montre ce que devient la cartographie : un outil politique.
Imaginez un territoire que l'on déforme, dont on change les dimensions, les proportions, la physionomie en somme pour le faire coïncider avec les contours d'un logo, donc d'une marque. Symboliquement, c'est assez fort.
Des tentatives de géométriser Paris, il y en a eu. On pourrait évoquer cette tentative de plan de métro circulaire, conçu par Constantine Konovalov konbini.com/fr/tendances-2…
Je vais vous raconter l’histoire du piratage télévisuel le plus mystérieux de tous les temps. Ou comment, un soir de novembre 1987, un étrange personnage fit irruption sur les ondes de deux chaînes locales de Chicago… Déroulez donc 😉 #thread
Mais avant d’évoquer plus en détail cette étrange affaire, je dois vous présenter celui qui en est devenu, un peu malgré lui, le protagoniste. Son nom est Max Headroom.
Le public découvre Max Headroom en 1985, lorsqu’il devient l’animateur d’une émission musicale sur la télévision britannique. Il est alors présenté comme le « premier présentateur télé conçu par ordinateur »
Bon, voilà plusieurs mois que je lis, ici et là, que la nouvelle identité de France Télévisions se résume à « un ajout de points devant des chiffres »… Du coup, je voulais vous montrer, à l'aide de qq documents, le travail que représente un tel rebranding #habillage#francetv
En effet, heureuse coïncidence, il se trouve que le service presse du groupe a publié des documents particulièrement intéressants pour comprendre l’élaboration de la nouvelle identité visuelle du groupe : les chartes graphiques.
Une charte graphique, kesako ? C’est un document qui définit l’ensemble des signes d’une identité visuelle ainsi que les règles d’utilisation de ces signes. En gros, une charte graphique appliquée à la lettre conduit à une identité homogène donc reconnue par le public 👌
Et hop, nous voici partis pour un nouveau thread ! Et cette fois-ci, nous allons parler de l'évolution de l'identité visuelle de France Télévisions. Vous êtes prêts ? Déroulez donc 😉
Car oui, dès demain, l’identité visuelle du groupe ainsi que l’habillage de ses chaînes évoluent en profondeur. Ça valait le coup d’ouvrir la boite à souvenirs, non ?😉
Nous allons donc revenir sur une histoire longue de presque… 26 ans (!) De fait, vous comprendrez qu’il me sera impossible d’être exhaustif en évoquant, avec force détails, tous les habillages de toutes les chaînes de France Télévisions.
Hop, c’est parti pour un thread sur la signalétique originale du #RER, mise en service il y a 40 ans. Tellement banale et insignifiante en apparence, et pourtant… Je vous l’explique avec quelques animations faites maison, déroulez donc 😉
Jusque dans les années 60, le réseau de transport s’aventure peu en dehors de Paris… Sauf qu’on vit de plus en plus nombreux à Créteil, Cergy ou Bondy. Et qu’on peut habiter à Noisy-le-Grand et devoir aller travailler à la Défense. La région parisienne s’urbanise, en somme.
En gros, à cette époque, le métro ne fait que de timides incursions en banlieue… Pour le reste, les « lignes régionales » s’arrêtent dans les grandes gares parisiennes, obligeant les passagers à de laborieuses correspondances. Not cool.