Read on Twitter
Vous vous souvenez sans doute d’HAL (CARL en VF), l’intelligence artificielle chargée de gérer le vaisseau spatial Discovery One dans *2001, l’Odyssée de l’espace*. Celle qui, finalement, décide de n’en faire qu’à sa tête.
Officiellement, HAL est un acronyme pour *Heuristically programmed ALgorithmic computer*. C’est du moins comme ça qu’Arthur Clarke, scénariste du film avec Stanley Kubrick, expliquait le choix de son nom.
Sauf que, si vous décalez chacune des lettres d’un cran dans l’alphabet, vous obtenez…
Clarke et Kubrick jurent que ce n’est qu’un hasard et qu’à aucun moment ils n’ont voulu associer la firme américaine à une super-intelligence synthétique devenue dangereuse pour ses créateurs.
Sauf que voilà : à l’époque de la sortie du film (1968), non seulement IBM est le leader mondial incontesté de la fabrication d’ordinateurs mais en plus, ils sont à la pointe de la recherche en matière… d’intelligence artificielle.
On l’a oublié aujourd’hui mais au milieu des années 1960, la plupart des spécialistes se donnaient quelques décennies pour qu’une machine comme HAL voie le jour. À l’époque, prédire la singularité technologique pour 2001, c’était raisonnable. #Fin
• • •
Missing some Tweet in this thread? You can try to
force a refresh
